COLLECTION GRANDE HIÉROPHANIE

Plaidoyer pour Gilles de Rais

Trouvez-le ici ↗

RÉSUMÉ
Préface de Jean-Yves Goéau-Brissonnière

Gilles de Rais est un personnage dont le destin a intrigué et fasciné les écrivains, les dramaturges et des musiciens. Parmi ces passionnés de vérité et de justice : Voltaire, et aux XIXe et XXe siècle, Huysmans, Salomon Reinach, Maurice Garçon, et, en 1992, Jean-Pierre Bayard dans son Plaidoyer pour Gilles de Rais, Maréchal de France.Nombreux sont ceux qui considèrent sa condamnation comme une erreur judiciaire et se battent pour la réhabilitation posthume du compagnon de Jeanne d’Arc. Ainsi, un collège d’arbitres a décidé au Sénat le 9 novembre 1992 que le Maréchal, combattant émérite, n’avait commis aucun crime. Victime d’un complot destiné à le perdre et à s’emparer de ses biens, il avait (neuf ans après Jeanne) été sacrifié à la vengeance des Anglais vaincus.Certes, l’homme d’armes n’était pas sans reproches. Replié dans ses châteaux après la disparition de l’héroïne, il s’était adonné à l’alchimie, science favorisant l’éclosion de rumeurs. Jean-Pierre Bayard (1920-2008) a écrit plusieurs ouvrages traitant de la Symbolique, tout en s’imprégnant des légendes, du folklore mondial et des thèmes initiatiques. Ingénieur des Travaux publics, docteur ès lettres (maçonologie) de l’Université de Haute Bretagne, Jean-Pierre Bayard a toujours tenu à la plus grande rigueur.

INFORMATIONS COMPLEMENTAIRESAuteur : Jean-Pierre BayardEdition DUALPHACollection Grande HiérophaniePages : 332Isbn/Ean : 9782353743728

Les portes du passé

Trouvez-le ici ↗

RÉSUMÉ

  • Préface de Philippe Randa Nous voulons tous en savoir davantage. L’être humain n’est jamais satisfait. Ravi par le spectacle du ciel, par ces étoiles dont la faible lumière palpite au bord des cieux, il s’interroge : pourquoi est-il là, à cette place, dans cet univers gran­diose ?Tous les jours, les recherches ramènent des découvertes bouleversant des connaissances qui se voulaient incontournables. À chaque instant, la science brûle ce qu’elle a adoré. En permanence, ses adeptes entassent des faits à ruiner les plus belles hypothèses.« Aucune expérimentation, écrivait Albert Einstein, si poussée qu’elle soit, ne peut apporter la preuve que j’ai raison et, à tout moment, une ex­périence suffit pour réfuter mes théories. »Cette réflexion devrait servir à certains de leçon d’hu­milité… Alors, laissons les « Je sais tout » déguiser leur ignorance derrière des écrans de fumée et se débattre dans un bourbier fangeux où ils s’enfoncent continuellement. Partons, grâce à Dieu, voyager à travers les millénaires, quittons nos rivages, cherchons l’immuable au moment où des forces effrayantes tentent de nous rayer de la carte du monde.Allons à la rencontre des civilisations mystérieuses et prodigieuses qui se succédèrent avant de sombrer dans l’oubli, franchissons ensemble les Portes du passé…« En entrant dans un nouveau millénaire, nombreux ont été ceux qui se sont brusquement inquiétés de l’avenir. Pour répondre à de telles angoisses, somme toute bien humaines, certains cherchent, à l’exemple de notre auteur, des réponses dans le passé le plus lointain des peuples. Ils s’aperçoivent alors que celui-ci ne véhicule pas de simples histoires pour faire frémir les enfants ou les âmes sensibles, mais qu’il recèle souvent de véritables enseignements, surtout s’ils sont difficiles à décrypter. Et on comprend alors tout le sens de cette définition donnée par Friedrich Nietzsche dans le prologue d’Ainsi parlait Zarathoustra : “L’homme qui a la plus grande mémoire est celui de l’avenir” » (extrait de la préface). Extrait du sommaire :Où Darwin entre en scène… Stonehenge et le secret des mégalithes… La création de la terre… L’art préhistorique… Lascaux… L’écriture commence à Glozel… Les Bushmen du Kalahari… Les nobles Massaï… Les Turus… Les Kaleri du Nigeria… Stanley et Livingstone… Savorgnan de Brazza… Speke aux sources du Nil… La ville fantôme du désert… Les villes disparues… Ur, cité légendaire… Et Babylone ne sera pas détruite… Jéricho, la ville martyrisée… Sodome et Gomorrhe, villes de débauches… Jérusalem et le temple de Salomon… La destruction de Jérusalem… Les rouleaux de la mer Morte… Mareb, Axoum et la reine de Saba… L’Arche d’Alliance en Éthiopie… Schielmann, un Allemand dans la tempête… L’Anatolie, terre des dieux   … La Perse, Zarathoustra et Manès… Gnossos… Carthage, reine sanglante des mers… Tell-el-Amarna, la ville de l’hérétique… La mort de Pompéi… Eleusis et ses mystères… La grande pyramide de Gizeh… Les jardins suspendus de Babylone… Le temple de Diane à Éphèse… La statue de Zeus à Olympie… Le tombeau de Mausole à Halicarnasse… Le colosse de Rhodes… Le phare d’Alexandrie… Les civilisations englouties… Sumer – Paris 1840… L’épopée de Gilgamesh… L’histoire du pays d’Assur… Comment vivait-on à Sumer ?… Le déluge et ses mythes… Les tables sumériennes… Le royaume des Hittites… La terre de Mû… L’île de Pâques, vestige de Mû ?… L’Atlantide… La mythologie rejoint-elle la réalité ?… Sur les traces de l’île légendaire… Et si Tortessos était l’Atlantide ?… Ophir, vestige de l’Atlantide… Les Guanches, derniers Atlantes… Hyperborée et sa capitale : Thulé… Le groupe Thulé… au XX siècle… L’Agartha et le roi du monde… Un maître curieux : Trebitsch-Lincoln… Nerval et l’Agartha… Les mystères de l’Amérique primitive… Les cités sacrées de l’Amérique primitive… La ville des dieux… Les maîtres de Tula… Les fouilles à Cholula… Le trésor du Monte Alban… Les cités antiques mayas… L’histoire des Mayas… Chichèn Itzá et son puits sacré… La vie des Mayas… La plus vieille ville du monde… La découverte de Vilcabamba… Les figurines d’Acambaro… Les Vikings… Les Phéniciens en Amérique… Christophe Colomb… L’étrange géode de Coso… Les Phéniciens au Brésil… Les cartes de Piri Reis… Éditeur d’ouvrages de biblio­philie pendant de nombreu­ses années, Gérard Letailleur est également auteur de livres his­to­­riques, notamment d’une Histoire insolite des cafés pari­siens, couronnée par le Prix de l’académie Rabelais…

INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES Auteur : Gérard LetailleurEdition DUALPHACollection Grande HiérophaniePages : 490Isbn/Ean : 9782353743735

Trouvez-le ici ↗

La Franc-Maçonnerie au Brésil de Henri Médioni
RÉSUMÉ

Avant-propos de Pierre Mollier, préface d’Éduardo Carvalho Monteiro.

En quatre siècles le Brésil s’est construit une identité forte à partir de matériaux issus de la vieille Europe et d’autres horizons. Parmi ces matériaux, la Franc-Maçonnerie, une institution singulière qui, entre l’Église et l’État, joua un rôle important dans presque tous les pays du vieux continent, et notamment au Portugal, aux XVIIIe et XIXe siècles. Mais, avec son génie particulier, le Brésil va donner à la Franc-Maçonnerie un visage profondément original.

Cer­tains diraient que, par sa tendance au syncrétisme, par sa position ambiguë entre positivisme et mysticisme, il était fatal que la Maçonnerie trouve bon accueil dans l’âme brésilienne.

L’histoire de la Maçonnerie brésilienne était, pour le lecteur francophone en tout cas, terra inco­gnita. Henri Mé­dio­ni nous propose au­jour­d’hui de découvrir l’univers des loges du Bré­sil ; à la fois son histoire « complexe ! », ses com­­posantes « foisonnantes » et sa réalité quo­ti­dien­ne… parfois inattendue pour les Frères eu­ro­péens. Une fois de plus, on verra combien l’histoire de la Franc-Maçonnerie, loin de se dé­ve­­lop­per en vase clos, est en symbiose avec l’his­toire politique, sociale et religieuse de la so­ciété dans laquelle elle vit.

Henri Médioni s’est longtemps intéressé aux expressions internationales de la Franc-Maçonnerie, et à ses caractéristiques sociologiques. Il a notamment traduit deux ouvrages du professeur Margaret Jacob traitant des origines de l’Institution et de ses rapports avec le radicalisme des Lumières, La Franc-Maçonnerie au quotidien et La Pensée radicale au siècle des lumières ; il a également traduit un ouvrage du professeur Oliveira Mar­ques sur l’histoire de la Franc-Maçonnerie au Por­tugal. Il est membre de l’IDERM et du SRRS, société américaine de recherche du Rite écossais. Il a participé occasionnellement à la revue Humanisme et est mem­bre du comité de rédaction de La Chaîne d’Union.

Informations complémentaires

Auteur : Henri Médioni

Collection Grande Hiérophanie

Pages : 344

Edition DUALPHA

Isbn/Ean : 9782353743810

Trouvez-le ici ↗

Les Francs-juges de la Sainte-Vehme de Jean-Pierre Bayard

  • RESUMÉ
  • Les propos les plus contradictoires et les plus infamants ont circulé sur le Tribunal secret de la Sainte-Vehme, né sur le sol de la Westphalie, au XIIe siècle, à une époque de grands troubles dus à l’émiettement de l’Empire Romain Germanique. Cette justice ferme, droite, expéditive, a tout d’abord été bien accueillie par les classes laborieuses de la société ; elle n’a pourtant suscité que des récits d’horreur, d’effroi, qui ont alimenté une littérature populaire fort féconde : pour elle, la justice a été rendue dans les lieux les plus sauvages par des hommes prêts à assouvir toutes leurs passions ; ces « crimes » vehmiques auraient été signé par un poignard fiché dans l’arbre auquel le supplicié était pendu. Aussi lorsqu’au XXe siècle, au lendemain de la guerre de 1914-1918, des sociétés secrètes terroristes veulent châtier les traîtres, lorsque les partis politiques cherchent à imposer leurs vues en créant un climat d’épouvante, on prononce tout naturellement le nom d’une société qui a tenu une large place dans l’histoire du pays, en marquant récits et légendes.Jean-Pierre Bayard a voulu connaître ce qui se cachait sous le nom effrayant de la Sainte-Vehme. Il a pu rendre à ce tribunal son véritable visage ; en dehors de l’insolite ou du scandale, des fables moralisatrices et larmoyantes, il a tracé un portrait sensible et humain de la Sainte-Vehme, dont le nom reste encore présent dans l’esprit de quelques hommes. Cette recherche cerne la longue quête humaine, à la poursuite de son rêve du Sacré et de l’indéfinissable. Jean-Pierre Bayard (1920-2008) a écrit plusieurs ouvrages traitant de la Symbolique, tout en s’imprégnant des légendes, du folklore mondial et des thèmes initiatiques. Ingénieur des Travaux publics, docteur ès lettres (maçonologie) de l’Université de Haute Bretagne, Jean-Pierre Bayard a toujours tenu à la plus grande rigueur.
  • INFORMATIONS COMPLEMENTAIRESAuteur : Jean-Pierre BayardEdition DUALPHACollection Grande HiérophaniePages : 302Isbn/Ean : 9782353743841

Trouvez-le ici ↗

Tradition & Sciences secrètes de Jean-Pierre Bayard

  • L’irrationnel peut-il se circonscrire ? Est-il impie de chercher à pénétrer les lois de ce qui nous est encore incon­nu ? L’acte magique précède-t-il la reli­gion ? Comment parler de ce qui est ca­ché, obscur A?Par peur des mots, nous les modifions en les altérant… Dans ce siècle dit de com­munica­tion, nous ne savons plus nous interroger ; le dialogue est rompu avec notre voisin, avec la nature.Réhabiliter la magie, l’occultisme : telle est la recherche de Jean-Pierre Bayard qui, fidèle à la pensée Traditionnelle et à ses précédentes études, cerne quel­ques caractéristiques des arts dits se­crets, des sciences dites secrètes.­Ce livre vous fait découvrir : • rites de passage, rites initiatiques, so­cié­tés secrètes. • magie cérémonielle, magie incatatoire • Pierre philosophale, talismans, carrés magiques • Sorciers, mages, exorcistes, sorcel­lerie et religion • Magies, astrologie, l’ère du Verseau • Magnétisme, l’aura, pouvoirs de l’Hom­me • Spiritisme et médiums • Apport scientifique et Art : l’espoirJean-Pierre Bayard (1920-2008) a écrit plusieurs ouvrages traitant de la Symbolique, tout en s’imprégnant des légendes, du folklore mondial et des thèmes initiatiques. Ingénieur des Travaux publics, docteur ès lettres (maçonologie) de l’Université de Haute Bretagne, Jean-Pierre Bayard a toujours tenu à la plus grande rigueur.
  • INFORMATIONS COMPLEMENTAIRESAuteur : Jean-Pierre BayardEdition DUALPHACollection Grande HiérophaniePages : 226Isbn/Ean : 9782353743858
La Cabbale

Trouvez-le ici ↗

La Cabbale. Tradition secrète d’Occident de Papus

  • RESUMÉ
  • Ouvrage précédé d’une lettre d’Ad. Franck (de l’Institut) et d’une étude par Saint-Yves d’Alveydre. Reproduction de la 4e Édition renfermant des textes de Lenain, Éliphas Levi, Stanislas de Guaita, Dr Marc Haven, Sedir, J. Jacob, Saïr et une traduction complète du Sepher Ietzirak. Suivi de la réimpression partielle d’un traité cabalistique du Chev. Drach. Avec figures et tableaux.La Cabbale est une tradition ésotérique du judaïsme, présentée comme la « Loi orale et secrète » donnée par YHWH (Dieu) à Moïse sur le mont Sinaï, en même temps que la « Loi écrite et publique » (la Torah). Elle trouve sa source dans les courants mystiques du judaïsme synagogal antique.Le Baal Hasoulam (Yehouda Ashlag), kabbaliste du XXe siècle, en donne la définition suivante : « Cette sagesse n’est ni plus ni moins que l’ordre des racines, descendant à la manière d’une cause et de sa conséquence, selon des règles fixes et déterminées, s’unissant au nom d’un but unique et exalté, décrit par le nom “révélation de Sa Divinité à Ses Créatures en ce monde”. »Georges Lahy définit la kabbale comme « la dimension interne de la Torah, correspondant au sod (la connaissance secrète) des quatre niveaux de l’intérieur de la Torah (connus sous le nom de pardès) » : Peshat, Remez, Drash, Sod.Selon ses adhérents, la compréhension intime et la maîtrise de la Kabbale rapprochent spirituellement l’homme de Dieu, ce qui confère à l’homme un plus grand discernement sur l’œuvre de la Création par Dieu. Outre des prophéties messianiques, la Kabbale peut ainsi se définir comme un ensemble de spéculations métaphysiques sur Dieu, l’homme et l’univers, prenant racine dans les traditions ésotériques du judaïsme. « Fils du chimiste Louis Encausse (1832-1907), franc-maçon, chevalier Rose-Croix et d’Irène Pérez (née à Valladolid). Passionné par l’hermétisme depuis son plus jeune âge, il s’intéresse aux travaux du chimiste Louis Lucas (1816-1863). Il soutient sa thèse de médecine le 7 juillet 1894, et devient chef de laboratoire dans le service du professeur Jules Bernard Luys (neurologue, neuroanatomiste et psychiatre, 1828-1897) à l’hôpital lyonnais de la Charité (détruit en 1935 pour permettre la construction de la faculté de médecine). Il se dirigera vers la Théosophie via la revue le Lotus Rouge de Félix Gaboriau (1861-1911). Il rencontre au sein de son comité de rédaction, Albert Fau­cheux (dit François Charles Barlet, 1838-1909).Esprit tourné vers l’ésotérisme et l’occultisme il participe à l’histoire du Martinisme en développant de manière structurée, un courant jusqu’alors spécultatif. Si le Martinisme moderne est lié à l’évocation de Papus, il serait réducteur de le cantonner uniquement dans ce registre. Ainsi, son appartenance à l’Hermetic Brotherhood of Luxor lui valut de nombreux reproches de la part des francs-maçons et de René Guénon. L’éten­due de ses publications (voir la bibliographie ci-après) démontre un esprit de communiquant désireux de faire partager un savoir ésotérique globalisant » (Richard Raczynski, Un dictionnaire du Marti­nis­me (essai sur), Dualpha, 2009)
  • INFORMATIONS COMPLEMENTAIRESAuteur : PapusEdition DUALPHACollection Grande HiérophaniePages : 370Isbn/Ean : 9782353743896